Jeudi 31 mars 2022
Les chercheurs du continent face aux défis planétaires
Caroline Lachowsky s’est rendue à Saint-Louis (Sénégal) du 15 au 18 mars pour le colloque international African Research Matters - Penser les futurs africains en réponse aux défis planétaires. Cet événement inédit, organisé sur le campus de l’université Gaston Berger pour le lancement de la 1ère revue scientifique panafricaine Global Africa, a rassemblé les plus éminent.e.s chercheurs et chercheuses en sciences humaines et sociales du continent pour partager leurs expertises et leurs perspectives sur le monde qui vient. Depuis l’Afrique, pour l’Afrique et pour le monde : african research matters… et compte d’autant plus que ces chercheurs engagés ont une expérience individuelle et collective des crises, de l’incertitude et de notre commune vulnérabilité.
Caroline Lachowsky relaie leurs échanges interdisciplinaires, inspirants et polyglottes (français anglais mais aussi wolof, haoussa, yoruba ou encore bambara...) dans trois émissions spéciales diffusées les lundis 4, 11 et 18 avril, pour comprendre pourquoi et comment compter avec et sur la recherche africaine au niveau international.
> Lundi 4 avril : « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 1
Autour de Global Africa, la première revue panafricaine interdisciplinaire et multilingue (français, anglais, arabe et swahili) sur le « devenir savant du continent ».
Invités : Mame Penda Ba (Sénégal), professeure agrégée en science politique à l’Université Gaston Berger de Saint Louis au Sénégal, initiatrice du colloque African research matters et rédactrice en cheffe de la revue Global Africa, et Mahamane Tidjani Alou (Niger), professeur agrégé de science politique à l’Université Abdou Moumouni de Niamey, responsable de l’école jeunes chercheurs de Global Africa à Niamey, qui assurera la formation à la publication scientifique des jeunes chercheurs et chercheuses panafricain.e.s.
> Lundi 11 avril : « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 2
Comment, depuis l’Afrique, repenser et panser le monde ?
Invités : L’historien sénégalais Mamadou Diouf, professeur aux États-Unis à l’Université Columbia de New York, revient sur l’histoire de Saint-Louis, au carrefour du temps, du monde et des défis de notre temps, et le professeur de science politique nigérian Adebayo Olukoshi, professeur à la Wits school of governance à l’Université de Witwatersrand en Afrique du sud, qui revient sur l’importance de décoloniser les esprits au nord comme au sud.
> Lundi 18 avril « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 3
Comment le continent qui fait l’expérience de crises multiples peut-il devenir un laboratoire pour le monde ?
Invité.e.s : Mariam Sidibe, chercheuse malienne en science politique, coordinatrice a l’IRD, spécialiste des migrations, des crises et des conflits en Afrique subsaharienne, Estelle Kuokam, enseignante chercheuse camerounaise en anthropologie sociale à l’Université catholique d’Afrique centrale à Yaoundé, et Felwine Sarr, économiste, écrivain, universitaire sénégalais qui enseigne la philosophie africaine contemporaine à l’université Duke en Caroline du nord, après avoir enseigné à l’Université Gaston berger de Saint-Louis au Sénégal.
« Pourquoi compter avec la recherche africaine ? »
Les chercheurs du continent face aux défis planétaires
Série en 3 volets proposée par Caroline Lachowsky
Dans « Autour de la question »
Les lundis 4, 11 et 18 avril à 16h10
Caroline Lachowsky s’est rendue à Saint-Louis (Sénégal) du 15 au 18 mars pour le colloque international African Research Matters - Penser les futurs africains en réponse aux défis planétaires. Cet événement inédit, organisé sur le campus de l’université Gaston Berger pour le lancement de la 1ère revue scientifique panafricaine Global Africa, a rassemblé les plus éminent.e.s chercheurs et chercheuses en sciences humaines et sociales du continent pour partager leurs expertises et leurs perspectives sur le monde qui vient. Depuis l’Afrique, pour l’Afrique et pour le monde : african research matters… et compte d’autant plus que ces chercheurs engagés ont une expérience individuelle et collective des crises, de l’incertitude et de notre commune vulnérabilité.
Caroline Lachowsky relaie leurs échanges interdisciplinaires, inspirants et polyglottes (français anglais mais aussi wolof, haoussa, yoruba ou encore bambara...) dans trois émissions spéciales diffusées les lundis 4, 11 et 18 avril, pour comprendre pourquoi et comment compter avec et sur la recherche africaine au niveau international.
> Lundi 4 avril : « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 1
Autour de Global Africa, la première revue panafricaine interdisciplinaire et multilingue (français, anglais, arabe et swahili) sur le « devenir savant du continent ».
Invités : Mame Penda Ba (Sénégal), professeure agrégée en science politique à l’Université Gaston Berger de Saint Louis au Sénégal, initiatrice du colloque African research matters et rédactrice en cheffe de la revue Global Africa, et Mahamane Tidjani Alou (Niger), professeur agrégé de science politique à l’Université Abdou Moumouni de Niamey, responsable de l’école jeunes chercheurs de Global Africa à Niamey, qui assurera la formation à la publication scientifique des jeunes chercheurs et chercheuses panafricain.e.s.
> Lundi 11 avril : « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 2
Comment, depuis l’Afrique, repenser et panser le monde ?
Invités : L’historien sénégalais Mamadou Diouf, professeur aux États-Unis à l’Université Columbia de New York, revient sur l’histoire de Saint-Louis, au carrefour du temps, du monde et des défis de notre temps, et le professeur de science politique nigérian Adebayo Olukoshi, professeur à la Wits school of governance à l’Université de Witwatersrand en Afrique du sud, qui revient sur l’importance de décoloniser les esprits au nord comme au sud.
> Lundi 18 avril « Pourquoi compter avec la recherche africaine ? » - Partie 3
Comment le continent qui fait l’expérience de crises multiples peut-il devenir un laboratoire pour le monde ?
Invité.e.s : Mariam Sidibe, chercheuse malienne en science politique, coordinatrice a l’IRD, spécialiste des migrations, des crises et des conflits en Afrique subsaharienne, Estelle Kuokam, enseignante chercheuse camerounaise en anthropologie sociale à l’Université catholique d’Afrique centrale à Yaoundé, et Felwine Sarr, économiste, écrivain, universitaire sénégalais qui enseigne la philosophie africaine contemporaine à l’université Duke en Caroline du nord, après avoir enseigné à l’Université Gaston berger de Saint-Louis au Sénégal.
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