Face à l’urgence en Europe centrale et orientale dans le contexte de conflit armé en Ukraine et de ses conséquences dans le champ informationnel, RFI lance aujourd’hui son offre éditoriale en ukrainien 100% numérique et enrichit sa production de contenus en russe, pour renforcer l’accès à une information indépendante, fiable et vérifiée dans la région.
 

 

Installée à Bucarest* aux côtés des équipes de RFI România et composée de 16 journalistes, la rédaction de RFI en ukrainien propose des contenus (articles, photos, vidéos et plus tard des podcasts) sur la situation en Ukraine, en Russie et dans toute la région, mais aussi des sujets liés à l’actualité européenne et internationale, ainsi qu’aux personnes déplacées en raison du conflit. La rédaction propose également des contenus vidéos exclusifs venant de témoins directs des événements dans la région, publiés après un très strict processus de vérification de l’information. La rédaction peut en outre s’appuyer sur les ressources éditoriales des autres rédactions de RFI et de France 24, mais aussi d’agences de presse (AFP et Associated Press), ainsi que sur l’expertise et la disponibilité des équipes de RFI România.
 
Bilingue ukrainien-russe, la rédaction peut adapter ses contenus originaux dans les deux langues, et enrichit ainsi l’offre numérique de la rédaction en russe de RFI basée à Paris. Elle s’appuie également sur des outils IA de traduction automatique pour accroître ses capacités d’adaptation en ukrainien et en russe, sous le contrôle éditorial de journalistes, de contenus sons et vidéos des médias de France Médias Monde.
 
Les contenus en ukrainien de RFI sont publiés sur le site rfi.fr/uk/ et sur les réseaux sociaux : Telegram, Facebook et Twitter d’ores et déjà, puis Instagram et YouTube dans les prochaines semaines.
 

* En juillet dernier, France Médias Monde, en lien avec sa filiale CFI, a ouvert un « hub » à Bucarest adossé à la rédaction de RFI România pour renforcer sa présence et développer une offre d’information indépendante et rigoureuse dans la région, mais aussi de permettre à des journalistes en provenance d’Ukraine et des pays limitrophes de poursuivre leur activité.